17 février

On s'avancerait donc vers le Brexit, c'est-à-dire la sortie de la Grande-Bretagne de l'Europe. Sauf si les autres pays obtempèrent aux demandes de nos voisins anglais. Demandes qui vont à l'encontre de la nécessaire solidarité européenne... Moi, je dis OK : laissons-les partir, je ne suis pas sûr qu'ils seront gagnants. D'ailleurs, la City ne semble pas d'accord avec cette sortie de l'Europe. Nous, au moins, on pourra enfin se débarrasser du problème de Calais : on laissera passer les migrants vers le pays tant rêvé par eux...

En Corse, l'idée d'indépendance semble de plus en plus occuper l'esprit des nationalistes. On a entendu un syndicaliste parler d'"Etat ami" concernant la France. Et, ce, en présence de Jean-Guy Talamoni, président de l'assemblée de Corse, qui souriait à cette évocation. Quand on assiste, sur l'île de Beauté, aux assauts contre les représentants de l'autorité de l'Etat et contre le patrimoine public et que jamais les responsables ne sont mis en cause, on se dit que cela coûte très cher aux contribuables du continent, alors que la Corse ne nous rapporte rien... Laissons-les également partir ces îliens corses...

Corse et Grande-Bretagne : même combat ?