24 mars
Il y a des semaines comme ça où rien ne marche
! Des événements imprévus qui s'enchaînent et qu'on ne maîtrise pas...
Prenez l'exemple de
Madame Le Pen ! Elle avait pourtant bien préparé les choses : elle avait
décidé de ne plus apparaître dans les médias et avait parallèlement mis en place une campagne
(avec sa photo sur l'affiche) : "La France apaisée"...
Las ! On apprend en
début de semaine que la Cour de Cassation (rien que ça !) l'avait déboutée de
son pourvoi contre une décision de cour d'appel disant qu'elle n'avait pas été
diffamée par le Canard Enchaîné. Ce dernier avait écrit que c’était une Marine Le Pen « passablement
éméchée » qui avait ouvert la porte aux
policiers appelés pour tapage nocturne, dans une soirée chez un ancien leader
du GUD (Groupe union droit, une organisation étudiante d’extrême droite) dans
le XVIe arrondissement de Paris. Le journal faisait état d’injures à l’encontre
des fonctionnaires, attribuées à Marine Le Pen ainsi que la phrase « il
est plus facile de s’en prendre à de bons Français qu’aux bougnoules ».
Pas de bol, mardi, en son absence de France,
des attentats terroristes frappent Bruxelles. Elle qui, dans les mêmes
circonstances, aime à parader sur les plateaux TV et sur les ondes, pour
confirmer ses théories ultra-sécuritaires...
Rien n'arrivant jamais seul, en voyage au
Québec pour promotion personnelle (alors qu'elle voyage gratis dans le cadre d'une
commission parlementaire dont elle n'a pas, semble-t-il, beaucoup suivi les
travaux), toutes les portes se ferment, ses conférences de presse sont
troublées, ses réservations d'hôtel annulées, les politiques sont outrés par
ses déclarations (journal La Presse" : «Je ne me souviens pas d’un politicien étranger important venu donner
autant de leçons avec autant d’outrecuidance en aussi peu de temps»).
Il est temps de rentrer en France apaisée...
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